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Qu’est qu’il y a après la mort ? Un jardin de la mémoire, répond la Ville de Lyon, qui vient d’inaugurer le premier lieu de recueillement pour les proches des personnes incinérées. Implanté au Nouveau cimetière de la Guillotière et à proximité du crematorium municipal, ce jardin permettra de disperser les cendres des défunts, pour la somme symbolique de 10 euros. Un projet qui suit les tendances urbaines : un Lyonnais sur deux choisit l’incinération comme mode funéraire.

Une porte défectueuse a provoqué un mouvement de panique à l'enterrement d'un défunt. Les faits se sont déroulés à Uden aux Pays-Bas. Un cercueil a été placé dans un four pour être incinéré. Mais la porte du four ne s'étant pas fermée correctement, la famille du défunt a rapidement été confrontée au scénario catastrophe.

[b]La terre est une ressource précieuse et le pays exige désormais le recyclage des concessions dans les cimetières. Une funèbre affaire.[/b] Mes grands-parents sont retournés en Grèce dans les années 1990 pour leur retraite, après avoir passé la plus grande partie de leur vie aux Etats-Unis –ils y ont élevé leur famille. Ils se sont installés à Athènes, où leurs enfants, y compris mon père, leur rendaient visite.

En proposant la création d'un crématorium, la majorité souhaite répondre à un besoin de la population tout en se dotant d'un outil économiquement intéressant. Le dossier devait être le le temps fort de la séance du Conseil municipal qui se tenait mardi soir mais le choix de l'opposition de ne pas participer à la réunion (voir notre édition d'hier) en a décidé autrement.

Le Hainaut compte trois crematoriums mais aucun dans la région du Centre. Une région où l'an dernier pourtant il y a eu près d’un millier de demandes. Ce nouveau crematorium devrait voir le jour d’ici 2015 et sera situé à Haine-Saint-Paul. La Communauté urbaine du Centre avait lancé l'idée d'un nouveau crematorium, à disposition de ses treize communes, dès 2008. Trois ans après, le site est trouvé. Ce sera à Haine-St-Paul, derrière le hall omnisport.

De revirements en rebondissements, le projet de crématorium n’a guère évolué sur le bassin du Puy. Et la perspective d’un projet bien plus avancé à Saint-Ferréol fait trembler chez les militants vellaves Les années ont défilé, l’enjeu n’a pas changé. Trente-deux ans après sa création, l’association des crématistes de la Haute-Loire milite toujours pour la construction d’un crématorium au Puy-en-Velay. Avec à sa tête, toujours, le président Hubert Guillon.

L’Association de défense de l’environnement du cadre de vie a repris du service Les opposants à la création d’un crématorium à « La Sagne » à Saint-Ferréol-d’Auroure sont près de six cent cinquante à avoir signé la pétition « contre » le projet municipal. Soit un quart de la population. Sur le fond, tous se disent « pour » l’ouverture d’une telle structure en Haute-Loire où ses habitants n’ont d’autres choix que de se rendre à Saint-Etienne ou Clermont-Ferrand. Parfois avec des temps d’attente longs.

Le ministre wallon de l'Environnement, Philippe Henry (Ecolo), s'est voulu rassurant à propos des risques radioactifs liés à la crémation des corps. Il ne voit pas de raison pour prendre des mesures particulières de protection de la population, a-t-il répondu à la députée Chantal Bertouille (MR) en commission du parlement.

Projet de crématorium : les riverains perdent une manche - Agneaux vendredi 06 mai 2011 C'est à proximité du chemin du Bosq que la construction du crématorium est envisagée. Le tribunal administratif de Caen a rejeté la requête de l'Association des habitants d'Agneaux Ouest. L'Adhao demandait à l'instance d'« annuler l'arrêté du 18 décembre 2009 par lequel le préfet de la Manche a autorisé la commune d'Agneaux à procéder à la création d'un crématorium ». L'association a jusqu'au 6 juin pour faire appel de cette décision.

Reine Waroux, une Tournaisienne de 69 ans décédée le 20 octobre dernier, n'a pas pu être incénérée au crématorium de Mons, lundi, car son cercueil était trop large, lit-on jeudi dans les journaux du groupe Sud Presse.